Généralités sur une ville mythique, dernière étape prévue au Chili avant de gagner la Bolivie
Le village, habité depuis bien avant l’ère Inca est dominé par le volcan Licancabur. Celui-ci culmine à quelques 5900m et est le «protecteur» du village. Les premiers hommes, des nomades, se seraient installés dans la région il y a plus de 11000 ans. On se demande bien ce qu’ils sont venus faire par ici, tant la terre est sèche et aride.
San Pedro serait habité depuis environ -500 av JC. Les Atacamenos y ont développé la culture de plantes résistantes aux conditions météo extrêmes, et ils ont également domestiqué les lamas.
Ce gros village de 5 000 habitants est construit à plus de 2 400 m d’altitude. Il a gardé son ambiance coloniale avec ses rues pavées qui invitent à la flânerie et ses jolies bâtisses en adobe. En vous baladant dans les rues de la ville, ne maquez pas l’église de San Pedro et ses murs blancs reflétant la lumière du soleil.
Ville très touristique en été. Sauf en période de crue, les rivières Puritama et Purificada s’assèchent à proximité du village. Le tropique du Capricorne passe à quelques dizaines de kilomètres au sud du village.
Aujourd’hui, sa population se consacre surtout à l’agriculture (elle approvisionne les marchés de Calama) ou au tourisme. D’autres enfants du pays travaillent dans les mines avoisinantes ou même en Argentine et reviennent sporadiquement. La ville compte environ 5 600 habitants mais, l’été venu (ainsi qu’en juillet-août), elle se remplit d’une foule de touristes attirés par les merveilles que possède la région.
Histoire
Les premiers habitants de la région sont arrivés il y a environ 11 000 ans : Les Atacamènes. Au cours des millénaires, ils ont d’abord domestiqué le guanaco, camaélidé apparenté au lama . Ils pratiquaient la transhumance entre les Andes et le plateau. Puis ils se sont sédentarisés grâce au développement d’une agriculture utilisant les plantes qui pouvaient résister dans ce climat désertique. Ils sont devenus maîtres dans l’élaboration de réseaux d’irrigation. Des villes et villages furent fondés, certains sur des buttes stratégiques avec fortifications : les Pucarás. San Pedro de Atacama a commencé à être fréquenté par les humains entre 500 av. J-C et 300 ap. J-C alors que plusieurs communautés de potiers se sont établies à l’embouchure du Rio San Pedro dans le Salar de Atacama.
Ces populations pratiquaient la déformation de leurs crânes, utilisant dès l’enfance des petites planches bandées par les lanières de laines autour de la tête, pour leur donner un front plat. Cette civilisation était dirigée par des chefs de villages, les Atacameños, et s’étendait de la dépression de Chiu-Chiu au pied des Andes jusqu’au salar. C’est dans cette région que fut découverte une série de momies. L’une d’entre elles, vieille de trois mille ans est appelée Miss Chile et sa réplique était visible jusqu’en 2008 dans le petit musée situé près de la place centrale du village.
La culture Atacama a atteint un haut niveau agricole et d’artisanat. Vers 1450, la civilisation Inca a étendu sa domination dans la région et a imposée une nouvelle direction culturelle. Elle a amené un réseau de routes, de nouvelles techniques métallurgiques et céramiques, ainsi qu’une intensification des échanges commerciaux. Les Incas ont établi leur centre administratif à Catarpe, au nord de San Pedro.
Un siècle plus tard, les conquistadors espagnols Diego de Almagro et Francisco Aguirre combattirent les Incas de la région en 1536. Il y aurait eu un bain de sang des Atacamènes au Pucara de Quitor. Puis Pedro de Valdivia compléta la conquête en 1540 et commença à faire de San Pedro un village colonial. Entre 1890 et 1925, le passage du bétail entre le salar et l’Argentine était monopolisé par les villages du plateau. La population a ensuite diminué avec la diminution de ce commerce. Aujourd’hui le tourisme, le travail de la terre et l’extraction du sel du salar sont les activités principales.
Géographie et Climat
Le village est à une altitude d’environ 2 400 mètres. Le climat est extrêmement sec, les précipitations n’atteignent que 35 mm par an, selon les services météorologiques chiliens et se produisent l’été, en janvier ou en février. Deux types d’années doivent cependant être distinguées :
Le maximum quotidien en été est de 25 à 30 °C (décembre à février) et de 18 à 25 °C en hiver (juin à août). Cependant, les minimums nocturnes sont sous zéro une bonne partie de l’année et peuvent atteindre −10 °C.
Vu la faiblesse des précipitations, le village n’existerait pas s’il n’était pas alimenté par deux ruisseaux qui sont :
Ces ruisseaux sont alimentés par les orages de l’été austral dans la cordillère. La totalité des eaux de ces ruisseaux est captée par des canaux d’irrigation, qui sont de type gravitaire car très anciens. Ces canaux sont souvent cimentés pour limiter les pertes en eau car ils alimentent également plusieurs oasis situées à plusieurs kilomètres au sud du village.
L’eau du village est très salée et contenait jusqu’à récemment un haut niveau d’arsenic provenant des cendres volcaniques. Des relevés ont donné jusqu’à 600 µg par litre, soit 60 fois le maximum recommandé par l’Organisation mondiale de la santé. La population indigène qui demeure dans cette région depuis des millénaires semble avoir développé une résistance à ce polluant, ne présentant que peu de cas de maladies y étant reliées. Un système de filtration ramène maintenant les taux d’arsenic et d’autres contaminants à des niveaux plus sûrs.
a. Infos tourisme :
– Sernatur sur la place principale pour obtenir plan, consulter livre Reclamos y sugerencias. Office de tourisme à l’angle de Toconao et La Paige : Bons conseils. Plans. www.sanpedroatacama.com
– Office de Tourisme Teckara situé 445, Tocopilla. C’est à la fois un point d’informations touristiques sur les transports et le logement dans le village, et une boutique de souvenirs.
– Carabineros : Place principale. Pour obtenir renseignements sur étét des pistes
b. Argent
Il existe des DAB sur la rue Caracoles et en face du musée et un autre antre la Poste et l’office de tourisme
Bureau de change (Casas de Cambio) à l’angle Caracoles et rue Toconao
Transfert d’argent possible par Western Union dont l’agence se trouve chez Tur Bus
c. Santé :
Consultario General Rural situé sur Gustavo Le Paige. Consultations et Urgences
Posta Medica sur la place centrale
Farmacia Cruz Verde au 359 Caracoles
d. Poste et télécommunications
Bureau de poste ( Correos): adresse Gustavo Le Paige 365
Téléphone : Telefonica Caracoles 419 Vente de recharge et carte sim
e. Divers :
– Boulangerie française : Franchuteria (un peu difficile à trouver, elle est dans une ruelle et ouvre à 9h)
– Laverie : Viento Norte situé Vilama 432 ouverte de 8 h à 18 h
– Possibilité de louer des vélos.
Le mieux serait l’agence de voyage “Pachamama”. Ils nous ont loué des mountain bikes corrects pour 5000 pesos/jour après négociation. Il y a aussi Km Zero sur Caracoles 282 B 6000 peso/j soit 8 euro/ vélo ou 3600 Peso pour 6 h . Réserver la veille pour avoir les vélos le matin tôt vers 7 h 30
– CENTRO AGROPECUARIO ATACAMA
C’est là que vous trouverez de quoi vous fournir en fruits et légumes à bas prix ! Enfin pas toujours si bas. J’ai eu l’impression que l’endroit souffre malheureusement d’une certaine cupidité envers les touristes. Le gringo c’est un peu une banque sur pattes. Mais ça reste de la bonne affaire et permet de manger sain !
– SUPÉRETTES
On a pu s’y fournir en empanadas, pain et fromage, de quoi se composer un repas simple mais suffisant ! On y trouve aussi toutes sortes de snacks et aussi des yaourts.
Vous trouverez plusieurs supérettes dans le centre de San Pedro de Atacama.
f. Agences de voyages
Il existe des agences 100 % françaises à San Pedro :
Autres agences recommandées:
– White And Green International Travel – Day Tour située Calle Toconao 459, San Pedro de Atacama Prix 140 euro/personne pour 3 Jours J1 On nous prend à l’hôtel en car , on passe par Hito Cajon puis la frontière chilo bolivienne, on monte dans 4X4, onvisit the White Lagoon, Green Lagoon which is based on the foots of Licancabur Volcano. We continuous driving north of Salvador Dali Desert. Then continue to the Polques Hot Spring, Geysers of Morning Sun, at 5000 meteres. Then, arrival to the spectacular Red Lagoon where you can appreciate thousands of flamingos. We will go to settle to a hostel of the Community Mallku Villa Mar which is at a height of 3500 meters J2 Breakfast. We started visiting cave paintings, Valley of the Rocks, where you can see formations like Los City Italy, World Cup, Camel, etc. Then we visit the Black Lagoon with a lot of wildlife like Tawas altiplánica or geese and vegetation according to the ecosystem, or Catal Lagoon (Laguna Misteriosa), Canyon Catal. Lunch. Viewpoint Waterfall Agua Dulce, until a valley inhabited by many highland communities. These communities are engaged in raising Andean animals such as llamas and alpacas. The day ends with the arrival at the community of Villa Candelaria Hostal of salt. A double or triple accommodation where we will have dinner J3 At 5:00 hours started to go to Incahuasi Island to observe the sunrise that is located in the middle of Uyuni Salt Flat. We visited a completely built of salt blocks (Hotel Playa Blanca), Salt Flat Eyes, Salt Montoneras Hotel, until you reach the Community of Colchani where we can observe the traditional process of salt consumed throughout Bolivia. Lunch. Last stop at Train Cemetery. And the tour ends at Uyuni – Bolivia to 15:00. Approximately.
– Agence Lithium http://www.travel-lithium.com/ Calle Caracoles Nº 419 – B1
teléfono: (56) 99403973 – 56077487
– Cordillera Traveller située Tocopilla 429 http://www.cordilleratraveller.com
San Pedro de Atacama – Uyuni salt flat 3 days & 2 nights
195 USD each / p.p. soit 172 euro/personne
1. Pukara de Quitor
Possibilité d’y aller à pied. Remonter Domingo Atienza et continuer toujours tout droit sur 2,7 Km
Ruines d’une forteresse définitivement conquise en 1540 par Francisco de Aguirre qui fit décapiter 300 Indiens et exposa leur tête sur les murs !
Grimper jusqu’au Mirador perché à 2600 m en marchant 40 minutes : Magnifique vue
2. Musée archéologique Padre Le Paige : En cours de destruction pour cause de déménagement
Adresse : Au coin de la place centrale
Caractéristiques : Gustave Le Paige, né le 24 novembre 1903 à Tilleur (Belgique) et décédé le 19 mai 1980 à Santiago du Chili (Chili), est un prêtre jésuite, ethnologue et archéologue belge. Considéré comme le père de l’archéologie chilienne, il fut fait citoyen chilien. Il fut d’abord missionnaire au Congo. Son amitié pour le jésuite chilien (canonisé depuis) Alberto Hurtado (dont il fut compagnon d’études à l’Université catholique de Louvain) le conduisit à demander son envoi comme missionnaire au Chili. Ce qui lui fut accordé et Le Paige arriva au Chili en 1953. Après un court séjour dans la paroisse de Chuquicamata, il se porta volontaire pour prendre en charge la paroisse de San Pedro de Atacama, alors sans pasteur. La paroisse, dans un lieu désertique et montagneux à quelque 300 km d’Antofagasta, était vaste comme la Belgique : y vivaient six groupes ethniques différents. Il s’engagea de suite dans des œuvres de développement, en y créant des dispensaires et des écoles. Comme au Congo son amitié pour les gens simples et pauvres qu’il rencontrait le poussa à mieux connaître leur culture. Peu après son arrivée, en 1955, ses paroissiens lui révélèrent la présence de sépultures préhispaniques dans le désert de Loma Negra. Commença alors une intense activité ethnographique et archéologique. Sur 100 emplacements différents furent découvertes 6 500 tombes. Si ses premières excavations permirent la découverte de céramiques et autres artéfacts de la civilisation atacamienne des Xe et XIe siècles, des recherches ultérieures mirent au jour des traces de présence humaine remontant à plus de 12 000 ans avant Jésus-Christ. Il semble bien que la région fut habitée continûment du paléolithique au XVIe siècle : quatre civilisations successives. Les nombreuses découvertes furent rassemblées dans un musée à San Pedro même, qui, d’abord modeste, est devenu au fil des années le musée archéologique le plus riche en antiquités du pays. Pour faire mieux connaître ses découvertes, avoir l’avis d’experts et attirer l’attention des chercheurs, Le Paige organisa un congrès d’archéologie en 1963. Ce fut le point de départ d’intérêt porté internationalement à la civilisation des Atacamas. Le musée (qui porte maintenant le nom de Gustave Le Paige) est même devenu une des attractions touristiques les plus importantes du pays. Par deux fois le père Le Paige reçut la visite du roi Léopold III de Belgique, lui-même fort intéressé par l’ethnographie. Léopold III subventionna la construction d’un hôpital à San Pedro de Atacama. Le Paige fut membre du conseil inter-americain des musées de l’UNESCO, membre de l’académie des Sciences naturelles de l’université catholique de Santiago et d’autres sociétés savantes. Docteur honoris causa de plusieurs universités, il reçut les plus grands honneurs au Chili (citoyen d’honneur du pays), en Belgique et en Espagne.
Malade et infirme Le Paige passa ses dernières années à l’infirmerie du collège Saint-Ignace à Santiago. Il y mourut le 19 mai 1980. Suivant ses expresses dernières volontés, son corps fut transféré et enterré à San Pedro de Atacama, parmi ce peuple auquel il s’était totalement identifié. En mémorial de profonde reconnaissance les Atacamas lui érigèrent une statue de bronze.On l’a accusé d’être proche de Pinochet
Poteries, pierres sculptées ou gravées, objets en métal, tissus et momies, le Musée Archéologique de San Pedro de Atacama compte plus de 380 000 pièces dont certaines, les plus fragiles, sont conservées dans des caves spéciales. Ces pièces permettront aux visiteurs d’avoir une idée plus précise des civilisations qui ont peuplé la région depuis la Culture de San Pedro jusqu’à l’arrivée des espagnols en passant par la période de domination des Incas. La Salle du Trésor est une des plus importantes du musée avec une belle collection d’objets en or.
C’est dans ce musée que se trouve la célèbre Miss Chile, la momie d’une femme ayant vécu il y a 2500 ans est découverte dans un tumulus à proximité de San Pedro de Atacama.
Selon les experts, le processus de momification est entièrement naturel. En raison de la forte salinité du sol où elle fut enterrée, et les températures très élevées du Désert d’Atacama, le corps de la défunte s’assécha rapidement et put être parfaitement conservé pendant des siècles.
Malheureusement, les visiteurs auront peu de chances de voir Miss Chile dans le Musée Archéologique qui a accédé à la demande des indigènes Atacameños de ne plus exposer les momies provenant de leur civilisation. Miss Chile a donc rejoint les autres momies conservées dans ses caves spéciales. Une réplique est cependant visible dans le musée.
Prix :2500 Peso/per
3. Solmaforo
En face de la poste cela ressemble à s’y méprendre à un feu de circulation, mais cet appareil vise à alerter les habitants sur l’intensité des ultra-violet d’un soleil aux effets redoutables dans les villes perchées dans les Andes. Le « solmaforo », un terme mélangeant les mots « soleil » et « feu de circulation » en espagnol, est équipé de panneaux solaires et de capteurs optiques mesurant l’intensité des rayons lumineux dont l’exposition prolongée provoque des cancers de la peau. A chaque niveau de radiation correspond une série de recommandations concernant les vêtements à porter, l’usage de crème solaire avec tel degré de protection ou encore le port de lunettes noires.
4. Iglesia San Pedro
La iglesia San Pedro à San Pedro de Atacama est l’une des vieilles du Chili. L’église fut fondée en 1641, l’emplacement et les murs actuels datent de 1745. La tour a été rajoutée en 1890 et reconstruite en adobe en 1964.
Elle est entouré de vieux caroubiers ( aigarrobos ) Cet édifice en adobe peint en blanc est le plus emblématique du village. Avec une architecture en forme de crois latine, l’église de San Pedro mesure 41 mètres de longueur sur 7,50 mètres de largeur. Avec ses poutres de chañar et de caroube (algarrobo), son toit recouvert de cactus et d’un mélange de boue et de paille, sa tour construite en 1964 pour remplacer l’ancien clocher en bois, l’église de San pedro symbolise à elle seule le village qui s’est développé autour.
Dédiée à Saint Pierre, c’est le 29 juin que se déroulent les fêtes patronales autour de l’église de San Pedro de Atacama avec des danses folkloriques qui attirent de nombreux touristes et habitants de la région.
En face de l’église, la Casa Incaica est la plus vieille maison du village. Avec ses portes de forme trapézoïdale, elle offre un modèle typique de l’architecture inca. Mais comme c’est maintenant une propriété privée, on ne peut l’apprécier que de l’extérieur.
5. Museo del Meteorito
Adresse : Au nord de la place centrale Tocopilla 159
Caractéristiques : Ce musée d’un nouveau genre a ouvert ses portes à San Pedro en 2013. Situé dans un dôme à 5 minutes de Caracoles, on y expose toutes sortes d’objets spatiaux, des météorites, et de nombreuses explications autour du système solaire. La visite est intéressante et interactive (on peut toucher certaines météorites !).
Prix : 3500 Peso/per soit 5 euro/per Ouvert tous les jours de 11h à 13h et de 18h à 22h
6. La Casa Incaica :
Sur le côté est de la Place d’ARMES
La Maison Inca, un édifice construit en adobe en 1540 et qui est considéré comme le plus ancien de San Pedro de Atacama.
Entièrement restaurée, cette maison blanche comme la plupart des édifices du village a conservé la structure des demeures incas avec son toit soutenu par des poutres en bois recouvert par des branches et de la paille.
Connue aussi sous le nom de Casa de Valdivia, elle aurait été construite par Francisco de Aguirre pour recevoir le conquistador espagnol Pedro de Valdivia au mois de juin 1540.
7. La Calle Caracoles est une piétonne du centre de San Pedro de Atacamas où l’on trouvera de nombreuses boutiques d’artisanat, des bars, des restaurants, des agences de voyages pour réaliser des excursions dans la région, et même des magasins vendant des vêtements et des accessoires pour les randonneurs.
En remontant la Calle Toconao vers le nord, on reviendra vers la Plaza de Armas bordée au nord par la Calle Antofagasta et le bel édifice à arcades de la mairie. La Calle Antofagasta est également une rue piétonne bordée elle aussi de boutiques d’artisanat local mais aussi provenant d’Argentine et de Bolivie.
En fait, toutes les rues entourant la Plaza de Armas sont si étroites qu’il est rare d’y croiser des véhicules, offrant ainsi un espace de liberté aux visiteurs qui s’y promèneront tranquillement en appréciant l’architecture des petites maisons d’adobe qui abritent le plus souvent des commerces.
8. Le Village des artisans :
A 700 mètres au sud-est de la Plaza de Armas, en empruntant la Calle Antofagasta qui passe devant le Musée Archéologique, puis la Calle Ignacio Carrera Pinto sur la droite, on arrivera devant une grande enceinte située au 602 de la Calle Socaire où est installé le Village des Artisans (Pueblo de Artesanos).
Dans de petites maisons d’adobe des artisans locaux exposent de nombreux objets réalisés à la main comme des beaux tapis colorés aux figures géométriques, des gravures sur bois représentant des lignes mystérieuses tracées dans le Désert d’Atacama, des objets réalisés en cuivre ou des masques.
Le Pueblo de Artesanos organise également des ateliers de peinture, de tissage, de jonglerie, de gastronomie ou de danse, des ateliers où les touristes son invités à participer pour mieux découvrir la culture d’Atacama.
A certins moments de la journée on pourra assister à des concerts, des spectacles de danses folkloriques et d’autres expressions de la culture de cette région.
merci de
nous faire voyager avec vous dans des lieux que nous ignorons totalement illustrés de tant de belles photos et de commentaires si intéressants.
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