Adresse : Bandera 361 RCH – Santiago Metro Plaza de Armas Site : http://www.precolombino.cl/
Caractéristique : Coup de cœur de Lonely Planet .Situé en plein cœur de la capitale, « El Museo Chileno De Arte Precolombino » possède la plus grande collection d’artefacts créés par les civilisations qui ont précédé l’invasion des conquistadors espagnols (précolombien = avant Christophe Colomb). On y retrouve évidemment des objets Incas (dernière et plus importantes de ces civilisations), mais aussi des Mayas, Azteques, et d’autres peuplades locales aujourd’hui disparues… ou pas ! En effet, on y découvre des objets Mapuches, la seule civilisation précolombienne qui continue de survivre a ce jour au Chile( Cf. Notre article sur les Mapuches)
Commentaire de Marie Laure: « Magnifique«
Prix : Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Service de guides (réservez par téléphone). Entrée : 3500 Peso soit 5 euro/per
Le phénomène du « Street Art » attire l’attention de milliers de personnes dans les rues. Depuis les années 70 avec la naissance du graffiti à New York jusqu’à ces dernières années lors des grands festivals d’art, le mouvement de la « peinture urbaine » a explosé dans le monde entier.
Si le Brésil est le pionnier du street art en Amérique Latine, le Chili n’est pas en reste avec deux capitales incontournables du graffiti, Santiago et Valparaiso, où le graffiti, s’il n’est pas encore légal est toléré.
Le Chili a vu naître de nombreux graffeurs de talents qui sont en train de lui permettre de rattraper son retard face au Brésil en matière de street art. Ses deux figures emblématiques sont sans aucun doute Cekis, et Inti.
Il est situé dans le quartier Bellavista.
Le quartier de Bellavista est un secteur de la ville de Santiago du Chili, situé entre la rive nord de la rivière Mapocho et la colline de San Cristóbal, avec la rue Pio Nono et la rue principale. A son début, ce fut un quartier catholique et aristocratique. Tandis qu’aujourd’hui, on y trouve de nombreux bars populaires, des centres culturels et restaurants gastronomiques internationaux.
Son développement commence à partir de l’époque coloniale, où la région était connue comme le quartier de La Chimba, où les familles pauvres vivaient sur les pentes du Cerro San Cristobal. Avec la construction du pont Cal y Canto, se sont unis les secteurs de la Chimba avec l’autre partie de la ville. Ainsi, depuis le début du XIXe siècle a commencé son urbanisation.
MONTEE AU CERRO SAN CRISTOBAL
Monter en funiculaire pour apprécier la vue la plus haute de la ville (2000 CLP aller retour/personne = 3€) dont la station de départ se trouve Plaza Campolican Métro Baquenado. Pour les sportifs, il est tout à fait possible de monter la colline à pied. Seulement 6 kilomètres vous séparent du sommet, ce qui est l’équivalent d’environ deux heures de marche
C’est l’endroit qu’il ne faut pas louper à Santiago ! La vue est imprenable, vous pouvez vous promener, et voir les belles montagnes enneigées autour de Santiago… C’est de là que vous verrez aussi l’immense nuage de pollution qui domine la ville
Vous pouvez aussi monter un peu plus haut (à pied) pour être au cœur du sanctuaire de l’immaculée conception avec une grande statue de la vierge dominant la colline : Virgen de la Immaculata Concepcion. C’est là que Jean Paul II a célébré une messe en plein air en 1984
Quelques exemples d’architecture
Quelques vues de Santiago
Avec le Bonjour des RUIZ
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