38 Orchard Road Christchurch Airport. Parking assuré
Prix = 35 euro/per pour le billet Xtreme avec ciné en 3D et balade en tout-terrain. 30 euro/per si senior ( ce qui était le cas pour 2 d’entre nous sans que je donne les noms!!!)
La Nouvelle-Zélande est le second pays le plus proche de l’Antarctique (2 500 kilomètres ) après le Chili (1 000 km). La ville de Christchurch sert depuis longtemps de point de départ aux expéditions de touristes et de scientifiques partant à sa découverte : seulement 5 heures de vol séparent les 2 pays.
Situé en face de l’aéroport international de Christchurch, le Centre International de l’Antarctique (International Antarctic Centre) ( www.iceberg.co.nz ) abrite un musée ainsi que les équipements des programmes d’exploration de l’Antarctique des Etats-Unis et de la Nouvelle-Zélande. C’est pour témoigner de l’implication de la ville dans les programmes d’expéditions depuis plus d’une centaine d’années, que le centre a été créé. Il permet aux amoureux de grands espaces et d’aventures de vivre les grands frissons et les joies de l’exploration antarctique, sans avoir besoin de se rendre dans le pays de neige et de glace. Grâce à un environnement recréé à l’identique, il y a des spectacles audio et visuels, une chambre polaire qui permet aux visiteurs de glisser sur des pentes de glace et de jouer dans de la neige artificielle, un camp de base authentique pour goûter aux conditions de vie des explorateurs, etc. Sur place, le personnel du centre fournit des manteaux chauds aux visiteurs durant leur visite et exploration. L’International Antarctic Centre a été récompensé comme une attraction touristique majeure en Nouvelle-Zélande et est accessible à partir de 88 dollars néo-zélandais par personne. Pour s’informer sur les programmes ainsi que les horaires et les conditions de visite, il est possible de se rendre sur le site web du centre www. iceberg.co.nz ou d’appeler au 03 353 7798. Le centre est ouvert tous les jours à partir de 9 heures et se trouve juste en face de l’aéroport de Christchurch.
Séjour de quelques minutes dans une chambre froide avec vent artificiel
Balade en chenillette ( sans neige malheureusement amis avec sensations!!!)
Rencontre des chiens de traineaux
Autres rencontres
Non sans quelques heurts avec l’agent de la Quantas qui refuse tout dédommagement
Nous suivons la route classique passant par Little River : Suivre State Highway (SH 75) qui est la route principale en passant par Taitapu(environ 2 h de trajet) Halte possible à Little River . La route devient plus étroite et grimpe en lacet jusqu’au sommet avec un beau point de vue.
– La Péninsule s’est formée à la suite de 3 éruptions volcaniques qui soulevèrent le sol ; après refroidissement la lave s’éroda et laissa la place à des vallées et à des promontoires
– En 1838, le Français Jean-François Langlois voulu créer un port baleinier sur la péninsule de Banks. Il acheta toute la péninsule à la tribu maori qui vivait sur ces terres pour milles francs anciens, puis repartit pour la France organiser un début de colonisation. Apprenant cela, les Anglais, qui zieutaient également sur les terres Néo-Zélandaises, sortirent de leurs gonds. Ils mirent des bouchées doubles à leur projet de colonisation pour prendre les français de vitesse et réussirent à signer le fameux traité de Waitangi avec les tribus maoris le 6 Février 1840, donnant la souveraineté de la couronne britannique sur tout le territoire néo-zélandais. Ils dépêchèrent un groupe de colons anglais vers la péninsule de Banks, qui plantèrent le drapeau britannique le 16 Aout 1840. Deux jours plus tard, les navires « Le Comte de Paris » et « l’Aube » accostaient sur la péninsule, portant à leur bord 63 colons français… Malgré leur « défaite », les français décidèrent de rester sur les lieux qu’ils avaient légalement « achetés » et établirent le village d’Akaroa
-Le nom de Péninsule de Banks a été donné par le Capitaine Cook en l’honneur de son botaniste, Josph Banks
– Akaora est l’endroit ou se sont installés les premiers français a avoir foulé le sol de Nouvelle-Zélande. Le village est décrit dans les guides touristiques comme un coin de France qui s’efforce de recréer l’atmosphère d’un village de Province. L’endroit, en bord de mer, joui effectivement d’une atmosphère sympathique, mais les auteurs des guides n’ont manifestement jamais mis les pieds en France dans le genre de village qu’ils décrivent. A part 2 ou 3 bâtiments, les maisons coloniales sont plutôt dans un style victorien typique de la Nouvelle-Zélande que dans un style Renaissance.
Les rues portent des noms français, et les magasins aux façades modernes de la rocade arborent tous dans leur nom un « Au Bon … », histoire de jouer le jeu jusqu’au bout. La station d’essence locale s’appelle donc « La Bonne Essence ». Et hop, nous voila en France !! A noter que « l’importance » du lieu lui a valu la visite de Michel Rocard en 1991, lors de son mandat de Premier Ministre. C’est beau le métier de politicien ! Tiens, je devrais essayer de faire ça pour voyager au frais du contribuable…
– Outre les rues « Lavaud Street » ou Croos Street » rebaptisées « Rue Lavaud » et « Rue de la Croix », des petits malins ont renommé d’autres rues comme « Rue Matics » ou « Rue Barb » !!!!
– Nous nous promenons pendant une heure dans la rue principale qui longe la baie jusqu’au Bowling Club, qui offre un spectacle intéressant. Des parties ont lieu et manifestement le bowling local ressemble plus a une partie de pétanque avec des grosse boules en cuir, qu’a un jeu de quilles.
–Très jolie église qui nous permettent une petite prière pour ceux que nous avons quittés
Nous installons PIJAMA sur l’aire pour Campervan « self contained » du quai face à la mer. Nos voisins sont français et l’un d’entre eux tente de pêcher sans véritable connaissance
– Treck du Mont Stony : La montagne qui s’élève au-dessus de la ville de Akaroa, sur la péninsule est la baie de Stony. Pour ceux qui aiment la randonnée, la nature et la fatigue, je recommande de suivre le chemin qui monte sur la crête de la montagne au sommet. Dans environ deux heures, nous atteignons le sommet, et de là, vous pouvez obtenir une vue d’ensemble complète de la péninsule volcanique de la mer qui se glisse dans les passages étroits. Au sommet, il ya toujours beaucoup de vent, donc soyez prudent
– Curry Trak : un treck circulaire de 3h30, 600m de dénivelé dans l’arrière pays, qui débouche sur une magnifique vue sur la péninsule
La randonnée part du centre de la ville, très pratique ! Prenez la Woodills Stock Route en direction de Heritage Park, la route est goudronnée et très raide à certains endroits. Il est également possible de venir jusqu’ici en voiture (parking disponible).
Le chemin de terre Curry Track commence à gauche après le parking, derrière cette charmante barrière qu’il conviendra de bien refermer derrière vous (oui car il s’agit de terrains privés).
Ensuite, le chemin serpente entre bois et colines, parfois plat, parfois lègerement pentu et vous amenera jusqu’à la Worlsay junction. Prenez à droite direction Purple Peak Saddle. A partir de là, la randonnée devient de plus en plus intense car vous prenez de la hauteur, mais retournez-vous admirez la vue, et faite des pauses régulières pour vous réhydrater.
Au millieu de la randonnée vous attendrez le Browntop Saddle, le point le plus dégagé pour admirer la Banks Peninsule.
Nous avons déjeuné au bout de la Purple Peak Saddle (il y a une aire de pic-nic et des toilettes publiques), la vue surhinewai Reserve était magnifique et nous avons eu la chance d’être seuls au monde !
Le retour de la boucle se fait via Purple Peak Stock Route (très bien indiqué, suivez les panneaux). Uniquement de la descente dans des chemins secs et rocheux, bizarrement moins agréable que la montée (ça fait mal aux genoux !). Le chemin debouche sur la rue Balguerie, qui mène tout droit vers le centre d’Akaroa.
Pensez à prendre au moins 1,5L d’eau par personne, et un Kaway si le temps se couvre (la météo change vraiment très vite)
– Children Bay : « petite marche sympathique qui traverse des champs privés où vous serez en compagnie de moutons et de grandes statues en métal représentant divers animaux exotiques.
Elle monte en haut d’une colline avec une vue sympa, puis termine de façon totalement aléatoire puisque rien n’est vraiment indiqué.
J’espère que vous aurez plus de chance que nous pour trouver la sortie, puisque nous, nous avons échoué au bord d’une départementale… »
– Aller au Visitor Information Center Rue Lavaud et acheter An Historic Walk . Cartes payantes pour les ballades (environ 2 euro)
– La Péninsule de Banks a été découverte par James Cook qui pensait qu’il s’agissait d’une ile et qui lui donna le nom du botaniste de son expédition Joseph Banks. Ce n’est qu’en 1809 que le capitaine Chase rétablit la vérité géographique.
– Akaroa est située au milieu d’un volcan éteint
– Dégustation fruits de mer : Akaroa Fish and Chips 12 euros. (non testé)
– 800 habitants
– AkaroaMuseum : Adresse : 71, Rue Lavaud Caractéristiques : Fondé en 1964, ce petit établissement présente l’histoire de la région depuis ses premiers habitants, les Maoris, jusqu’à la souveraineté britannique avec, entre les deux, l’épisode de la colonisation avortée des Français. A visiter, deux autres bâtiments historiques : la Custom House, bâtie en 1852 et la Langlois Eteveneaux House, l’un des plus vieux édifices du pays, qui fut prémonté en France et transporté en Nouvelle-Zélande. I site à côté Prix : Ouvert tous les jours de 10h30 à 16h, 16h30 en été. Entrée gratuite.
– Il y a un cimetière français
– Il y a une superette et une station service appelée « L’Essence »
– Sortie en mer pour voir les dauphins d’Hector de petite taille reconnaissable à leur aileron dorsal noir et arrondi, des Albatros, des Lions de mer : Réserver à « Black Cat « pour partir tôt le matin Prix 72 dollar soit 48 euro/per
– Possibilité de louer Kayak de mer
– Restaurants ; Escargot rouge avec cuisine maoriet française. Bully Hayes avec saumon et pâtes fraîches.
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